Blinkl, créateur de réalité augmentée sans application, intègre l’Agrandisseur Fisheye

12 décembre 2018
Par agrandisseur

Le plus de Blin­kl ? Son inter­face ne néces­site aucune appli­ca­tion ou plu­g­in pour fonc­tion­ner et elle est acces­si­ble depuis tous les sup­ports digitaux.

L’outil est sim­ple, flex­i­ble et rapi­de : dans le cadre d’une expo­si­tion, il suf­fit par exem­ple de se con­necter sur le site inter­net d’un musée, d’une galerie ou d’un fes­ti­val et de scan­ner pho­to, affiche ou encore mag­a­zine offi­ciel à l’aide de l’icône Blin­kl affichée sur l’écran de son smart­phone ou de sa tablette pour accéder à dif­férents con­tenus exclusifs (infor­ma­tions, vidéos, images, jeux, ani­ma­tions 3D) qui vien­nent enrichir l’œuvre et l’expérience util­isa­teur. L’accès à ces con­tenus peut égale­ment se faire via QR Code, réseaux soci­aux ou grâce à la tech­nolo­gie Bea­con qui per­met d’envoyer directe­ment sur smart­phone un lien vers l’expérience Blinkl.

Blin­kl entend ain­si racon­ter des his­toires plus créa­tives en ajoutant une dimen­sion inter­ac­tive aux out­ils de com­mu­ni­ca­tion ou aux œuvres d’art elles-mêmes. Avec Blin­kl Sto­ries, un artiste peut par exem­ple associ­er des pho­togra­phies à des con­tenus vidéos exclusifs afin d’offrir au pub­lic une plongée encore plus enrichissante dans le makingof de l’œuvre. Une façon de pro­longer le car­tel descrip­tif et d’y apporter des infor­ma­tions com­plé­men­taires. Le pho­tographe Edouard Elias a notam­ment fait appel à Blin­kl Sto­ries pour don­ner encore plus de poids à sa série de pho­togra­phies « Habi­tats et habi­tants du Mor­bi­han » qui voy­age de villes en vil­lages et de hameaux en bourgs à tra­vers la cam­pagne bre­tonne pour en illus­tr­er toute la diver­sité sociale